Acheter une maison à Saint-Leu (97)

La Satec au Vent des Hauts Tout en haut de La Chaloupe Saint-Leu, là où le ciel semble plus proche et l'air plus frais, une maison Satec se prépare à écrire un nouveau chapitre. Elle mesure 109 m², posée avec justesse sur un terrain de 594 m². Elle n'est ni prétentieuse ni figée dans le passé : elle se rénove, elle se transforme, pour accueillir bientôt ceux qui sauront lui donner vie. Construite avec le sérieux des maisons Satec — ces bâtisses solides et bien pensées — elle a vu passer les saisons et les sourires. Aujourd'hui, elle est en plein renouveau. Les travaux de rénovation sont en cours : chaque pièce reprend souffle, chaque mur se réveille. Elle ouvre ses portes sur quatre chambres douillettes : Deux de 9 m², parfaites pour des enfants, un bureau, ou une bibliothèque pleine de romans d'outre-mer. Deux autres de 10 m², lumineuses, prêtes à devenir des cocons de repos ou d'inspiration. Le salon, accueillant, respire la convivialité. On s'y imagine déjà, fenêtres ouvertes, à écouter le vent des Hauts jouer dans les arbres. Juste à côté, une cuisine ouverte laisse place à la vie familiale, aux repas partagés, aux matins tranquilles. Elle regarde vers l'intérieur comme vers l'extérieur, en lien avec tout ce qui bouge, ce qui chante, ce qui mijote. Une salle de douche fonctionnelle, un toilette séparé, et tout autour, un jardin de 594 m². Assez grand pour rêver, jardiner, planter un arbre ou deux, mais pas trop vaste pour qu'il devienne un fardeau. Le meilleur dans tout cela ? Quand viendra le moment de poser les valises, les travaux seront terminés. La maison sera prête. Propre, saine, rénovée, prête à commencer une nouvelle histoire. Il ne manquera que vous.

Il était une fois, sur les hauteurs tranquilles de La Chaloupe Saint-Leu, une maison pleine de chaleur. 84 m², exactement. Posée sur une parcelle de 277 m², bientôt dessinée avec précision lors de la vente, elle attendait simplement… quelqu'un qui tomberait sous son charme. On l'appelait la maison aux trois chambres, mais ceux qui la connaissaient savaient qu'elle était bien plus que ça. La première chambre, 9 m², était modeste, lumineuse, parfaite pour un rêveur, un enfant, ou un coin lecture avec vue sur le ciel. La seconde, 14 m², respirait le calme. Elle accueillait le repos des corps fatigués et les après-midis de pluie. La dernière, 21 m², vaste et généreuse, était une suite en devenir, ou peut-être un atelier d'artiste, selon l'âme qui s'y installerait. Mais le cœur de la maison, c'était sa cuisine dinatoire, grande ouverte sur la vie. Là, on cuisait les caris, on partageait les rires, et les plats fumants passaient directement sur la terrasse de 47 m², sans même qu'on ait besoin de chausser ses sandales. Et cette terrasse… Elle n'avait pas de murs. Elle n'avait pas besoin de tableau. Car devant elle, l'océan déroulait sa toile immense, offerte chaque jour à ceux qui savaient lever les yeux. Une vue mer, franche, sans fioriture. Juste la ligne d'horizon et le vent doux de La Chaloupe. Les gens du quartier la regardaient avec tendresse, cette maison. Mais elle était prête, désormais, à tourner une page. Une nouvelle famille, un couple en quête d'espace juste, ou un solitaire amoureux du grand large… Elle n'attendait que ça. Et toi, qui lis ces lignes… peut-être que cette maison t'attend aussi ? Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www. georisques. gouv. fr