de superimmo.com

Votre magazine en ligne d’information sur l’immobilier

Mag

Revue de l'immo #35 du 30 novembre 2019

Publiée le 30 novembre 2019

Cette semaine dans la Revue de l'immo, la réforme du droit de propriété est en piste, un test des estimations immobilières en ligne, les prix à Paris et en Île‑de‑France.

Réforme du droit de propriété : c’est parti

Le principe de dissocier la propriété du bâti de celle du terrain vient d’être voté à l’Assemblée nationale. Cette mesure, qui met le foncier à l’abri de la spéculation, a pour objectif d’augmenter l’offre de logements accessibles.

Fiables, les estimations en ligne ?

Le Parisien a fait un test sur 4 sites, avec des résultats plutôt hétéroclites.

L’Île-de-France du simple au triple

Les prix de l’immobilier neuf font le grand écart en région parisienne, entre la grande banlieue et Paris. La petite couronne tire son épingle du jeu, par exemple à Asnières (6 589 euros/m²) ou Meudon (6 394 euros/m²).

10 000 € et +++

Les prix parisiens continuent leur escalade au-dessus des 10 000 €/m2. Certains quartiers les moins côtés ont vu leurs prix rattraper leur retard ce qui fait que le rapport entre le quartier le plus cher et le moins cher n’est plus que de 2, alors qu’il état de 5 en 2000.

Combien de mois de revenus nécessaires pour se constituer un apport ?

L’apport personnel moyen de 10 % représente 4 mois de revenus à Saint-Étienne contre 21 mois à Paris. Entre les deux, les grandes villes tournent autour d’un an de revenus.

Pauvres mais pas trop

Certains organismes HLM attribuent en priorité leurs logements aux ménages dont les ressources se situent juste en-dessous des plafonds, au détriment des ménages aux revenus les plus modestes, pointe un rapport du gendarme du logement social.

Au plus offrant

Un nouveau site de l’État regroupe les ventes immobilières et mobilières de biens dont l’État se sépare. L’endroit idéal pour y trouver sa future maison mais aussi son futur mobilier (mis en vente par Bercy par exemple), sa future voiture, ses futurs bijoux, etc.

La loi de 1948 concerne toujours 300 000 logements

Vestige de l’après-guerre, cette loi très favorable au locataire est source de perte financière pour le propriétaire. Et mettre un terme au bail s’avère toujours difficile.

À lire également